Le musée sera fermé les 24, 25 & 31 décembre ainsi que le 1er janvier 2025. Fermeture de l'artshop le 2 janvier.
Mise à l’échelle. Regard sur la collection du MACS
Si mettre à l’échelle consiste à passer de la proportion théorique à la proportion vécue, cette exposition, étant l’agrandissement d’une pensée que l’on matérialise dans la réalité, demeure bien une mise à l’échelle.
L’exposition est toujours une construction, c’est-à-dire l’agrandissement d’une pensée que l’on matérialise dans la réalité. La mise à l’échelle est le passage de la proportion théorique à la proportion vécue. Toute œuvre est recueillie par le regard subjectif du visiteur : l’échelle de notre perception est en effet des plus relatives et discutables. En exposant, le musée opère donc une « mise à l’échelle » des œuvres qu’il nous présente. Au départ de cette présentation, deux objectifs principaux sont poursuivis : tout d’abord montrer la grande cohérence de la collection par rapport à ses trois thématiques fondatrices, à savoir l’architecture, l’histoire et le rapport au poétique, mais souligner aussi le double ancrage de l’ensemble ouvert sur la création contemporaine internationale mais également sur les artistes belges, en particulier ceux de l’espace Wallonie-Bruxelles.
Artistes présentés : Emily Bates, Pierre Bismuth, Dirk Braeckman, Balthasar Burkhard, Marie José Burki, Éditions Camomille (Camille von Scholz), Jacques Charlier, François Curlet, Thierry de Cordier, Ronny Delrue, Simona Denicolai et Ivo Provoost, Rineke Dijkstra, Honoré d'O, Sylvie Eyberg, Filip Francis, Michel Frère, Gilbert & George, Ann Veronica Janssens, On Kawara, Joachim Koester, Bertrand Lavier, Mark Lewis, Mario Merz, Jacqueline Mesmaeker, M.V. Rose, Julião Sarmento, José María Sicilia, Joëlle Tuerlinckx, Daan van Golden, Angel Vergara Santiago, Bernard Voïta, Hui Zhuang
Commissaire d'exposition : Jérôme André